Coronavirus et immunité

Dans ces périodes un peu compliquées en terme de santé collective, une technologie efficace pour soutenir le système immunitaire. L’utilisation quotidienne du Bol d’air est conseillée pour obtenir une oxygénation cellulaire équilibrée qui permet d’entretenir son bien être et sa vitalité !
 

A quoi sert l’oxygène ?

Le premier rôle de l’oxygène c’est de donner de l’énergie à l’organisme. Tout se passe au niveau des cellules, dans de petits organites, les mitochondries, qui sont de véritables centrales énergétiques : avec l’oxygène, elles transforment les nutriments issus de la digestion en énergie directement utilisable par la cellule (ATP). En présence d’oxygène, une molécule de glucose peut donner 36 unités d’énergie (ATP) mais sans oxygène, elle  n’en produira que 2… L’oxygène intervient aussi dans la lutte contre les agents pathogènes et dans le contrôle des radicaux libres, molécules très réactives dont l’excès est nocif pour l’organisme (destruction des structures cellulaires).

Comment l’oxygène arrive-t-il jusqu’aux cellules ?

L’air qui nous entoure contient environ 21 % d’oxygène. Lorsque nous inspirons, il pénètre jusqu’aux alvéoles pulmonaires dont les parois sont tapissées de capillaires sanguins. Là, l’oxygène passe dans le sang qui irrigue toutes les cellules du corps. Inversement, le sang relâche dans les poumons le gaz carbonique dont il est chargé.

Quel est le rôle de l’hémoglobine ?

Dans le sang, l’essentiel de l’oxygène se fixe sur l’hémoglobine des globules rouges, qui lui sert de transporteur. Puis l’hémoglobine libère l’oxygène qui pénètre dans les cellules. En échange, elle capte le gaz carbonique, déchet de la respiration cellulaire, et le rapporte jusqu’aux poumons où il est éliminé dans l’air expiré.

La sous-oxygénation, c’est quoi ?

L’organisme se trouve en sous-oxygénation (ou hypoxie) quand on observe un déficit d’oxygène disponible dans les tissus. Même s’il est en quantité suffisante dans l’air, l’organisme ne l’assimile plus correctement. C’est ce qui se passe dans de nombreuses situations:
  • Pollution atmosphérique et tabagisme
  • Les polluants tapissent les voies respiratoires et freinent les échanges gazeux. Certains, comme le
  • monoxyde de carbone, prennent la place de l’oxygène sur l’hémoglobine
  • Maladie
De nombreuses pathologies sont source d’hypoxie, notamment les maladies respiratoires et circulatoires
  • Stress
  • Exercice physique intense
  • Avancée en âge
  • Altitude.
De plus, l’hémoglobine ne cède l’oxygène aux cellules que sous certaines conditions de température, d’acidité ou de taux de gaz carbonique dans l’air : il suffit qu’il dépasse 0,06 % pour entraîner une hypoxie. Or, c’est presque toujours le cas en ville où ce taux oscille entre 0,09 et 0,14 %.

Quels sont les dangers de la sous-oxygénation ?

Les conséquences de l’hypoxie sont multiples. En voici quelques-unes :
  • Altération du métabolisme: Le déficit d’oxygène provoque un ralentissement de la production d’énergie dans la cellule. Résultat: les réactions biochimiques d’assimilation des nutriments sont incomplètes, les déchets s’accumulent et intoxiquent progressivement l’organisme.
  • Excès de radicaux libres
  • La mitochondrie ne fonctionne plus correctement : elle fabrique des radicaux libres en plus grande quantité (stress oxydant). L’hypoxie entraîne en outre une dégradation des systèmes de défense antiradicalaire, soit un double stress pour la cellule.
  • Impact sur le système nerveux: Le cerveau et le système nerveux central sont les plus gros consommateurs d’oxygène et donc les premiers touchés. D’où le déclenchement de signaux d’alarme : fatigue chronique, nervosité, défaillance de la mémoire.

L’hypoxie conduit-elle à la maladie ?

Tout dépend de l’intensité de l’hypoxie et de sa durée. Lorsqu’elle perdure, la plupart des fonctions corporelles sont perturbées et la maladie s’installe. La perte de vitalité ouvre la voie à l’apparition de pathologies telles que troubles cardiaques et circulatoires, hépatites chroniques, athérosclérose, voire de maladies plus graves comme le cancer et autres pathologies dégénératives.

Et l’excès d’oxygène ?

Si on augmente la quantité d’oxygène inspiré, cela conduit dans la durée à une hyper-oxygénation (ou hyperoxie). A long terme, elle aussi a des effets délétères sur la santé, notamment via la formation excessive de radicaux libres, à l’origine de dommages cellulaires et d’inflammations. L’administration d’oxygène pur est réservée à des usages médicaux spécifiques.

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